agents du PAM ont été dépêchés en 2016 dans les zones où sévissaient les crises les plus graves*
le nombre de pays où du personnel a été affecté pour faire face à une situation d’urgence
*Pour les situations d'urgence de niveau 2, le PAM doit mobiliser des ressources à l'échelon régional.
Pour celles de niveau 3, c'est à l'échelon mondial qu'il doit se les procurer.
Pour affronter l'avenir, nous continuons de miser sur les activités où nous avons fait nos preuves. En 2016, le PAM est resté fidèle à sa vocation première - nourrir les victimes de la faim dans des situations d'urgence.
Bien que nous ayons reçu des contributions d'un montant jamais atteint jusqu'à présent, nous avons été contraints par la pluralité des crises – conflits, sécheresse, nombre record de réfugiés et de personnes déplacées – d'opérer des coupes dans nos opérations.
Œuvrant dans des régions parmi les plus dangereuses au monde, jour après jour, nous avons sauvé des vies. Mais si les enjeux à l'échelle mondiale ne diminuent pas, il faudra au PAM des ressources bien plus importantes et beaucoup plus variées pour continuer à mener à bien son action.